En 2019, le magazine Première qu’on salue – coucou ! – a lancé une web série sur le septième art qu’on vous recommande chaudement.
Alex Lattuada, ça te dit quelque chose ? Ce nom t’est inconnu ? Et la chaîne YouTube Et tout le monde s’en fout, tu connais ? Tu t’en fous ?! Ha ha très drôle, la blague. Tout ça pour dire que c’est le talentueux Alex Lattuada qui est aux manettes de la web série Une séance presque parfaite, coécrite par Fabrice et Marc de Boni pour Première. Seulement dix épisodes ont été tournés – raison de plus pour les savourer langoureusement – et diffusés en 2019.
Je vous entends marmonner : « Mais Maxime, de quoi parle cette série ? ». J’y viens, j’y viens, minute papillon ! Chaque épisode dure environ trois minutes et propose une réflexion sur le septième art, sur des sujets particuliers comme le sexisme au cinéma, l’exception culturelle française ou encore la rentabilité des films.
Ces petites pastilles sont bien écrites et efficaces. Alex Lattuada y joue un vendeur de pop corn déjanté (c’est le vendeur qui est déjanté, pas le pop corn) en costume vert et blanc, nœud papillon et moustache en guidon.
La caméra statique filme ce vendeur, dans un décor d’accueil de cinéma hyper classe, naviguant derrière son comptoir et interprétant une panoplie de personnages tous plus excentriques les uns que les autres. Si vous raffolez des anecdotes de tournage, ruez-vous sur YouTube pour dévorer cette web série !
J’en profite pour dire deux mots (enfin, un peu plus…) sur la chaîne YouTube Et tout le monde s’en fout mentionnée au début de l’article et que je vous conseille également si vous n’en connaissiez pas l’existence. Cette web série bimensuelle, en partie interprétée par Alex Lattuada, a un objectif minime, celui de changer le monde (eh oui, rien que ça !). Pour cela, la chaîne s’intéresse à de nombreux sujets de société qu’elle traite avec humour dans des vidéos de cinq minutes.
Et pour vous, ça serait quoi une séance parfaite ?
Une séance presque parfaite, à découvrir urgemment sur les chaînes YouTube de Première magazine et de Et tout le monde s’en fout.